C'est comme un pèlerinage.
À croire que ton visage est un endroit qui
a marqué ma vie.
Anna
Gavalda não decepciona, mesmo com o livro de estreia.
Eu
gostaria que alguém me esperasse em algum lugar, em tradução literal, é uma
coletânea de 12 contos sem qualquer ligação entre si. São principalmente
histórias do cotidiano, que abordam diferentes temáticas (amor, raiva,
frustração, vingança) e por isso o título pode induzir ao engano. Não é uma
narrativa triste, bem, ao menos não todas as vezes.
Je lui dis que
mon cœur est comme un grand sac vide, le sac, il
est costaud, y pourrait contenir un souk,
pas possible et pourtant, y'a rien dedans.
É uma ótima leitura, curtinho e escrito sem muitos rodeios. São narrativas bem elaboradas e com o humor típico da autora. Aliás, algo que eu adoro nos livros da Anna Gavalva. Terminei todos com 5 estrelas.
L'important ce n'est pas le lieu où on se trouve,
c'est l'état d'esprit dans lequel nous sommes.
Comecei
lendo Ensemble, c’est tout (publicado em 2004, 603 p.), inclusive foi o
primeiro livro que li em francês, em 2017. Je l’aimais (publicado em 2002, 216 p.) em 2023.
E agora em 2024 Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (publicado
em 1999, 224 p.).
Elle pleure pour tellement de raisons qu'elle
n'a pas envie d'y penser. C'est toute sa vie qui
lui revient dans la figure. Alors, pour
se protéger un peu, elle se dit qu'elle pleure pour
le plaisir de pleurer et c'est tout.
Os
três livros também foram adaptados para cinema:
2007 : Ensemble, c'est tout de Claude
Berri, avec Audrey Tautou, Guillaume Canet, Laurent Stocker.
2009 : Je l'aimais de Zabou Breitman,
avec Daniel Auteuil et Marie-Josée Croze.
2019 : Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque
part de Arnaud Viard.
CONTOS:
Petites
pratiques germanopratines
I.
I. G
Cet
homme et cette femme
The
Opel touch
Ambre
Permission
De
onde vem o título:"Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part."
Le
fait du jour
Catgut
Junior
Pendant
des années
Clic-clac
Epilogue
Ano: 1999 / Páginas: 224
Idioma:
francês
Editora:
Diletante
SINOPSE
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d'espoirs futiles, ou de désespoir
grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu'il leur arrive, ils
n'ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les
croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la
charge d'émotion qu'ils transportent et que révèle tout à coup la plume si
juste d'Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par
ricochet nos propres existences.
Je
voudrais… se dévide sous nos yeux comme une chanson sans refrain :
germanopratineuse, femme enceinte, drague-king troublé, toute la petite foule
d'Anna Gavalda circule et s'affaire, chacun selon sa tragédie quotidienne.
Parfois, ce train-train sourdement mortel tombe le masque et avoue sa part
noire. De rendez-vous manqués en collisions brusques, les héros d'Anna Gavalda
ne savent qu'une chose : qu'on les attend. Alors ils tendent la main pour voir
s'il goutte, et leur paume rencontre du plomb fondu.